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La rupture amoureuse, le chagrin d’amour… : Cœur brisé
par Carole Braéckman
Comment survivre en cas de blessure d’amour ? de rupture amoureuse ?
Il n’y a pas de recette miracle. C’est comme un deuil. Il y a du chagrin, et il convient de le pleurer.
Des deux côtés !
Par contre, peut-être, la rupture amoureuse est-elle aussi l’occasion de repenser son approche de l’amour, du couple, de revisiter notre façon d’être en relation.
Quand je dirai "couple", au fil de ce texte, ce sera toujours pour signifier deux personnes en relation amoureuse, marié(e)s ou non.
Tout d’abord, je voudrais insister sur le fait qu’il n’y a pas de bonne place : quitter ou être quitté(e), c’est souffrance. Souvent, on s’imagine qu’il est plus facile d’être celui/celle qui part, celui/celle qui décide de la rupture amoureuse. Il n’en est rien.
Je connais de nombreuses personnes, hommes ou femmes, qui ont mis un temps fou à quitter leur compagne/gnon. Parce que déchiré(e)s par la rupture qu’ils/elles allaient provoquer.
Bourrelé(e)s de remords, pétri(e)s de culpabilité.
Mais pourquoi partir alors, me direz-vous ?
Pourquoi ?
Partir peut être une évidence en cas de maltraitance physique ou morale.
Il est parfois des couples où il pleut des coups, des injures, des remarques dévalorisantes, des scènes… Je vous conjure d’en sortir si tel est votre cas. Vous ne méritez pas cela. Et… votre partenaire, non plus.
"Le premier coup que tu reçois, c’est de sa faute. Le second, c’est de ta faute." énonce un des slogans d’une association de femmes battues. Ou, autrement dit par un proverbe africain : "Un aveugle ne se fait jamais botter les fesses deux fois". Alors, par dignité, par respect pour vous, pour lui/elle, faites un pas de côté.
J’ai écrit un texte sur les relations de couple non-respectueuses que je vous invite vivement à lire, si vous êtes concerné(e).
Sans être aussi dramatique, partir, quitter une relation est parfois de l’ordre de la nécessité vitale. Qui peut aller jusqu’à dépasser l’individu qui la subit. Et qui n’a pas forcément à voir avec vous. Clarissa Pinkola Estes le dit très bien dans le conte Peau de Phoque, peau d’âme (dans Femmes qui courent avec les loups ) : "Et il était visible qu’elle voulait rester avec son enfant, oui, elle le voulait, mais quelque chose de plus ancien que lui, de plus ancien qu’elle, de plus ancien que le temps l’appelait."
Tâchez de ne pas juger. Que vous soyez celui/celle qui doit partir ou celui/celle qui est quitté(e). Comme l’exprime Alice Ferney, dans son roman Les Autres : "Que maîtrisons-nous de l’épiphanie ou de la mort d’un amour ? Si peu ! Nous ne sommes que des hôtes, les réceptacles d’une force qui nous dépasse, nous subjugue, nous métamorphose, et à quoi nous acquiesçons presque misérablement. Comment pourrais-je en vouloir à celui qui nous dit : J’ai fini de t’aimer. Il n’a rien fait. Il est victime d’une inconstance qui est à peine la sienne. "
L’amour est trop subtil pour être délimité. Il prend ou ne prend plus des formes très variées. Et quand il n’est plus là, il n’est pas juste, pas respectueux de faire perdurer le couple.
Rester avec l’autre, par pitié ou par devoir, réalisez-vous à quel point c’est irrespectueux pour votre partenaire ? et… pour vous ?! J’ai écrit un texte sur le sacrifice pour le bonheur d’autrui. Je vous invite à le consulter. Quelle que soit votre place, y compris si vous êtes celui ou celle qui êtes quitté(e).
Les racines de l’union
Il n’y a jamais d’erreur de casting. Il est possible que vous ne sachiez plus pourquoi vous avez épousé, ou entrepris une relation avec tel ou telle. Pour autant, n’allez pas trop vite. Voyez ce qui, en vous, a pu convoquer cette personne dans votre vie. Faites-le par respect pour cette souffrance que vous subissez...
Ou… vous risqueriez de reproduire ce "mauvais" choix dans une future relation.
Quelques une des mauvaises raisons possibles :
- La peur de la solitude. Êtes-vous sûr(e) de vous aimer, vous-même, assez ?
- La fuite d’un(e) autre partenaire ou d’une famille, d’un milieu qu’on n’ose pas quitter. Prenez votre courage à deux mains, et exprimez-vous, vous vous devez cela à tous deux/ tous trois.
- L’amour que vous découvrez dans les yeux de l’autre. Nombreuses sont les personnes qui tombent amoureuses de l’amour que l’autre leur porte. Pas de blâme.
Mais pas étonnant non plus, qu’au bout d’un temps, l’élan amoureux s’effrite. Plongez au fond de vous-même pour trouver tout(e) seul(e) toutes les bonnes, les excellentes ! raisons de vous sentir aimable.
Passion
Il est des passions amoureuses destructrices, assez difficiles à briser. Vous savez de celles dont on dit "je l’ai dans la peau, j’en suis marteau…" et qui nous font tant souffrir.
Je ne connais qu’une manière efficace de s’en sortir, celle du sparadrap qu’on arrache net. Ça fait horriblement mal sur le coup, mais c’est "moins pire" que de tirer un peu, puis remettre, puis tirer encore…
J’ai rencontré plein de passionné(e)s dans ma vie. Avec l’une d’elle, nous avons parlé chocolat. Vous savez que le chocolat vous fait mal, mais vous ne pouvez vous empêcher d’en manger ? Pour autant, jamais, il ne vous viendrait à l’idée d’incriminer le chocolat. Si ? Pareil pour la passion. Cessez de vous plaindre de votre partenaire. Si vous sentez que votre relation est nocive pour vous, ne lui jetez pas la responsabilité de vos malheurs, arrachez-vous. Un point, c’est tout.
Je sais bien que c’est plus facile à dire qu’à faire. Mais ce que, vous, vous savez, c’est que c’est à faire. N’est-ce pas ?
Quand
Evidemment, on ne quitte pas l’autre sur un coup de tête. Et quand on peut sauver le couple, en avançant… ça vaut le coup de le tenter. Après tout, dans l’ancien temps, quand le divorce était rare, et qu’on restait ensemble, coûte que coûte, il y avait parfois de très beaux renouveaux de couples, post-crise. Le couple (marié ou pas) peut se sortir renforcé d’une crise. Et les crises sont chemin assez classique dans l’histoire d’un couple…
Je conseille toujours aux personnes qui ont un doute sur la validité de leur couple, de faire le choix de rester "pour toujours", et de vivre leur relation avec authenticité, et engagement, sans se poser de questions… Jusqu’au mois, au trimestre, à l’année suivante… où il sera de nouveau temps de s’interroger. A moins qu’entre deux, une évidence n’apparaisse.
Mais si, au fond de vous, la réponse est déjà là… il peut être inconsciemment cruel pour vous, pour lui/elle, de faire semblant de jouer un jeu dont l’issue vous est déjà certaine. Et vous n’allez pas vous sentir à l’aise. Et induire, du coup, un malaise là, où vous pourriez vous quittez plus "sainement", si je puis dire.
Les fâcheries, les disputes, la colère
Il arrive, hélas, très souvent, lorsqu’on se quitte qu’on se jette des méchancetés à la figure. C’est quasi une phase obligée de la séparation.
Vous savez comme moi, que plus on aime, plus on a aimé, plus la colère peut être colossale. Dans tous les domaines ! Y compris le domaine amoureux. Surtout le domaine amoureux !
Il peut y avoir incompréhension des raisons profondes qui motivent la séparation, chute des valeurs d’engagement, anéantissement de l’image de soi, jalousie (qui est très liée à colère et amour - C’est Holly, la fleur de Bach qui aide dans les trois cas !)... nombreuses sont les faux pas possibles vers un plongeon dans la colère.
La culpabilité engendrée par la décision de partir, aussi, même si l’on est mû(e) par une certitude intérieure... Une parade facile est de se durcir pour s’arracher malgré sa mauvaise conscience.
Tâchez de vous épargner cela, à tou(te)s deux. Si vous sentez monter la colère, prenez la mesure de votre amour. Et faites un pas de côté. Il n’est pas du tout intéressant de se laisser filer dans cette direction.
Si vous êtes l’agressé(e), dites-vous bien que l’autre est toujours l’être sensible que vous avez épousé(e) ou accueilli(e) dans votre vie. Dans la dureté de son visage, de ses propos, voyez non pas, un changement radical de son être ou "sa vraie nature" - comme certain(e)s sont tenté(e)s de le croire – voyez plutôt sa souffrance, sa déchirure.
De toute façon, la dureté, qui peut apparaître d’un côté comme de l’autre, est le propre, dans tous les domaines de la vie, d’une grave tension et peine, d’une souffrance.
Voyez dans la dureté de votre partenaire une preuve de son amour. Plus l’amour amoureux que vous souhaiteriez y trouver, non, mais l’amour quand même.
Restez digne. Pointez à votre partenaire que sa colère, sa brutalité, vous ne la méritez pas. Aucun(e) des deux !
Et, peut-être aussi, devriez-vous admettre que cela n’est pas trop le moment d’essayer d’avoir raison ? Si l’autre est dans un au-delà de colère, il/elle ne vous entend pas. Discuter, argumenter ne sert pas forcément. Si ce n’est à augmenter le hiatus, et les sources de souffrance.
Faites aussi la part du dicible, par respect pour l’autre. Inutile de dire à votre partenaire que vous vous ennuyez parce que sa culture est indigente, ou que ses prouesses au lit ne sont pas à la hauteur de vos espérances, etc.
L’image de soi
Très souvent, hélas, une rupture amoureuse fait perdre considérablement en confiance en soi.
Si vous prenez comme postulat que le désamour, de même que les amours sans retour, ne mettent pas en cause, jamais, la valeur d’aucun(e) des partenaires, cela devrait vous aider. C’est juste un charme, comme une magie, qui est rompu ou ne se fait pas. Nul(le) n’est à incriminer.
On ne choisit pas de tomber en amour. Pourquoi lui/elle plutôt qu’un(e) autre ? personne ne peut l’expliquer.
Ce qui est certain c’est que la valeur de chacun(e) est intacte. Elle n’est, tout bonnement, pas en cause ! Elle déborde largement tous les aléas.
Connaissez-vous cette histoire qui circule sur Internet, d’un conférencier qui propose un billet de 100 euros à son assistance. Tout le monde est preneur, bien sûr ! Il le froisse. Qui en veut encore ? Tout le monde, évidemment ! Il le piétine. Ce qui ne baisse pas du tout son pouvoir attractif sur l’assistance, vous l’imaginez bien.
Alors, dites-vous, que même blessé(e) par une rupture amoureuse, votre valeur reste entière. Et… ne vous laissez pas piétiner, bien sûr.
Je vous conseille vivement de lire et... pratiquer ! tous mes conseils de chouchoutage, vous en aurez besoin...
Ce qui se rejoue
En dehors du choc de l’annonce, surtout si cette dernière est totalement inattendue, il est important que vous compreniez, quelle que soit votre place (celui/celle qui part ou celui/celle qui est quitté(e)), que, dans la douleur du jour, se rejouent d’anciennes ruptures et séparations. Et cela vous n’y pouvez rien. La vie est truffée de séparations. Aimer, c’est risquer la rupture.
Des séparations, il en est plein. La première est notre arrivée sur terre. Nous quittons un monde tout chaud d’amour, pour atterrir dans une vie de séparation. Nous sommes arraché(e)s à notre mère, sevré(e), mis en crèche ou à l’école, séparé(e), toujours séparé(e).
Je vous renvoie à l’excellent livre de la psychanalyste Judith Viorst au titre éloquent : Les renoncements nécessaires : Tout ce qu’il faut abandonner pour devenir adulte.
Je ne vous cache pas que les vrai(e)s adultes sont rares !! Qui sait renoncer ? Nous avons tous et toutes des traumatismes.
Alors, pensez-y quand vous êtes anéanti(e). Vous êtes en train de revisiter tous vos chagrins de séparations antérieures. En être conscient(e) peut vous aider à lever un peu le poids de cette séparation-là.
Dans la même veine, attention, à ne pas faire porter à votre compagnon/gne de vieux fardeaux. Ne lui mettez pas sur le dos, par exemple, votre manque de confiance en vous. Peut-être n’est-il/elle pas valorisant(e) pour vous, certes, mais n’est-ce pas pour cela que vous l’avez, à votre insu, choisi(e) ! parce qu’il/elle allait vous pousser dans vos retranchements, dans ce domaine-là précisément. Vous savez que l’on se cherche plus que très souvent, sans que cela soit une volonté claire, des petits maîtres. Afin d’évoluer. Notre vie en est jalonnée. Ceux du domaine amoureux ne sont pas les premiers, certes pas ! Alors, ne les rendez pas responsables de tout. Vous les avez convoqués dans votre vie pour peaufiner le travail entrepris depuis votre débarquement sur terre !!
Je vous invite à lire ce texte sur nos erreurs de boussole et les méchant(e)s de notre vie.
Regardez votre amoureux/se en partance avec cette profondeur historique de vue.
Souffrir, et ne pas souffrir
En cas de rupture amoureuse, il est bien sûr, une épouvantable souffrance.
Je vous répète : quel que soit votre rôle. Dans le conte de Clarissa Pinkola Estes dont je vous parle plus haut, la femme phoque dit à son père : "J’ai blessé un humain, père", et elle détourne les yeux.
Cette souffrance doit se vivre. Ne jouez pas les fortiches. "Un(e) de perdu(e)… " Ou encore, comme le renard dans la fable : "ils sont trop verts"...
Pleurez, pleurez tout votre soûl. Il n’y a aucune honte à cela.
Et chouchoutez-vous, dorlotez-vous, prenez soin de vous.
J’ai rédigé un texte pour vous aider : Donnez rendez-vous à vos chagrins : comment passer un deuil, une séparation.
Il n’y a pas d’autres recettes. Vous allez être traversé(e) par l’espoir ou la possibilité d’un retour, puis rejeter violemment votre ex, puis de nouveau caresser l’idée d’une vie comme avant… etc. Vous risquez de passer par beaucoup de couleurs de l’arc-en-ciel. Acceptez-le. C’est normal.
Tâchez de ne pas vivre dans le passé. De toute façon, en admettant que vous recommenciez votre vie de couple, ça ne pourra jamais être "comme avant". Ce serait d’ailleurs dommage. Il y aura de nouveaux modes à inventer… Une fleur de Bach pour vous aider si vous ruminez trop "le vieux temps" : Honeysuckle.
Les autres fleurs de Bach : Star of Bethléem pour le chagrin, le choc, Walnut pour vivre au mieux le changement, Holly - donc - pour la colère, Pine pour la culpabilité…
Et, si cela dure trop longtemps, si la plaie reste à vif, si vous n’acceptez toujours pas, si vous continuez à éprouver de la colère, si vous êtes dépressif/ve… il est bon, il est nécessaire, de consulter. Vous vous devez cela.
Un jour
Ce que je peux vous promettre, c’est qu’un jour, ça passera, cette souffrance, ce manque...
Il est même probable qu’un jour, vous vous demandiez ce que vous avez bien pu lui trouver à cet(te)homme/femme qui vous a tant fait souffrir.
Et que vous serez de nouveau heureux/se.
En général, avec le recul, on se félicite d’être sorti(e) ou… de s’être fait sortir de cette relation. Si. Je vous assure. Une belle majorité des personnes que je rencontre…
Et puis, sachez que souvent, en filigrane, parfois profondément celée, on garde une belle tendresse pour cette personne avec qui on a partagé un bout de route… Parce que, au départ, ce n’est pas complétement par hasard qu’on s’est choisi(e)s…
La conception du couple
En nos époques, où les séparations amoureuses sont fréquentes, les divorces ordinaires, peut-être est-il bon de revoir la conception du couple.
Il semble que chez beaucoup de personnes, un partenaire soit comme une possession. C’est oublier que chacun(e) est libre. Toujours.
Si vous vivez en couple, voyez la présence de l’autre à vos côtés, non comme un dû, mais comme un cadeau ! Vous vous faites mutuellement un cadeau. Tout est toujours révocable à tout moment. La mort peut faucher. Votre amoureux/se "tomber" en amour ailleurs…
Bénissez, remerciez les moments que vous passez ensemble.
C’est un homme, une très belle âme, qui m’a fait découvrir le texte d’Aimez la main ouverte. Il venait d’apprendre que sa femme le quittait pour un autre homme. La lecture de ce texte lui avait fait abandonner stupeur et colère… Il a laissé partir sa femme, la main ouverte. Et il a pleuré. Mais j’ai bien senti qu’au fond de lui, avait germé une dignité nouvelle, celle de qui aime sans main mise, de tout son cœur, grand ouvert…
Cette rupture amoureuse fut une belle leçon d’amour, pour cet homme. Je souhaite que nous en profitions tous et toutes.
© Carole Braéckman - www.lhibiscus.fr – décembre 2011
Pour celles et ceux qui se trouveraient trop vieilles, trop vieux, trop moches, et penseraient que leur vie amoureuse est cuite, je vous conseille de lire le texte magnifique de Clarissa Pinkola Estes sur le corps vivant.
Et pour ceux et celles qui auraient peur d’aimer par crainte de la souffrance, voici un extrait de La mécanique du coeur de Mathias Malzieu :
Tout le plaisir et toue la joie que l’amour peut faire ressentir se paient un jour ou l’autre en souffrances. Et plus on aime fort, et plus la douleur à venir sera décuplée. Tu connaitras le manque, puis les affres de la jalousie, de l’incompréhension, la sensation de rejet et d’injustice. Tu auras froid jusque dans tes os, et ton sang fera des glaçons que tu sentiras passer sous ta peau. La mécanique de ton cœur explosera.
[…]
Je suis en danger de mort ? Peut-être, mais je suis en danger de vie si je ne la revois pas, et, à mon âge, je trouve ça encore plus grave.
La notion de danger de vie me semble excellente et à ne pas négliger !
© Carole Braéckman - www.lhibiscus.fr – janvier 2012
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