Les rêves : Coucou n° 368 du 7 décembre 2016
par Carole Braéckman
Faites de beaux rêves ! de très beaux rêves, même !
C’est ce qui constitue votre différence !
Et en plus, cela vous met en joie ! en vie !
Coucou vous,
De deux conversations récentes sur les rêves de nos vies, je tire un sujet à triple angle. [Dur à dire à tripangle ! (sic)]
Nos rêves sont toujours limités. Ou plus exactement, nous les limitons ! Nous le réalisons souvent trop tard.
Je laisse la parole à George Bernanos : Si je recommençais ma vie, je tâcherais de faire mes rêves encore plus grands ; parce que la vie est infiniment plus belle et plus grande que je n’avais cru, même en rêve.
Parfois, c’est depuis notre enfance, que nous avons renoncé à rêver : Ce n’est pas pour nous ! Soyons réaliste ! etc.
Alors, en route ! afin de n’avoir aucun regret lorsque nous serons chenu(e)s !
Nous oublions trop facilement que nos rêves sont notre absolue priorité ! Ils sont notre identité, notre différence, notre unicité !
Nous avons tendance à faire passer devant de très nombreuses petites tâches chronophages, qui ne leur laissent pas une seule miette de temps !
Je vous invite à revisiter le vieux professeur et ses cailloux qui nous l’image de façon percutante !
Et enfin, petit rappel : la mise en oeuvre de nos rêves nous confère une force incroyable !
Vous le savez tous et toutes, mais avez tendance à le perdre de vue !
Je me nourris encore, plus de dix ans après, de mon saut en parapente !
Bon, je reviendrai, promis, sur ce propos ! Il y a tant à dire !
Déjà, vous pouvez vous mettre en route : un premier pas ! et aussitôt, l’énergie se fraie un passage !
Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir ! et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns comme disait Brel !
A tout bientôt !
Carole.
© Carole Braéckman – www.lhibiscus.fr – décembre 2016
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