L’hibiscus

Suite de l’énervé de la gare + Crétin(e), moi ? : Coucou n° 308 du 11 avril 2015

par Carole Braéckman

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Un des stades, très honorable !, du cheminement vers l’autre consiste, avant de pouvoir l’aimer, à juste ! ne pas le juger ! A comprendre ou imaginer ses blessures ! Et c’est déjà énorme !

S’accepter faillible, voir crétin(e), laisse une bienfaisante paix remplacer les crispations intérieures vers une, très hypothétique, perfection...

Coucou vous,
vous êtes plusieurs à m’avoir signalé un stade intermédiaire pour l’agité de la gare :
Oui, d’accord, Carole, je comprends bien ses blessures et tout ça, tout ça... mais quand même ! il pourrait aller jouer plus loin et me lâcher, non ?
Je ne lui veux pas de mal, mais de là à lui envoyer de l’amour !!
Bon, bon, c’est noté ! Et ma foi, c’est déjà énorme !


Une petite dame m’avoue être jalouse sottement (mais je ne suis pas certaine que nous puissions être jaloux/se sensément, si ?) des attentions que son ami témoigne à sa mère.
C’est crétin, je le réalise bien, mais je ne peux pas m’en empêcher !
- Allons, ce n’est pas grave, accepte d’être crétine - qui ne l’est pas ? - et cela te quittera plus vite !
Vous le savez bien : le plus souvent, c’est parce que nous refusons d’être crétin(e) que nous le sommes plus longtemps, spa ?

Passez un très joli week-end !
Carole. Qui assume pleinement ses propres clignotements chroniques d’imbécillité.


© Carole Braéckman – www.lhibiscus.fr – avril 15








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